Voici une petite série de proxi-photos et macro-photos réalisée aux forges de Pesmes. De ce lieu étaient produit des pièces d’armement qui servirent au marché Lyonnais et à l’arsenal de Toulon. Bon c’était au 17ème siècle, ne vous inquiétez pas, on ne va pas encore envahir la France avec nos saucisses de Morteau et notre vin jaune.
Aujourd’hui les forges ont été transformées en musée, afin de sauvegarder les connaissances sur les techniques industrielles anciennes. Le lieu lui même accueil également un petit théâtre, ainsi que divers activités culturelles pour les habitants des alentours.
Qu’est ce que je foutais là-bas allez-vous me dire ? Et bien j’assistais mon ami Mathieu sur un shooting pour la troupe de théâtre/chant/comédie : Chickadee. Entre deux support de réflecteur, et trois portage de flash, j’ai traîné mon œil dans les forges, à la recherche de clichés très industriels, limite urbex (du débutant).
Pourquoi encore et encore du noir et blanc ? Cette fois-ci c’est une demande puisque certaines de ces photos vont être utilisés pour décorer la maison d’un ami. Sur sa demande, j’ai traité les photos pour qu’elles approchent de son souhait. Mais il est vrai que j’aime de plus en plus le noir et blanc pour ce qu’il est capable d’apporter en contrastes et matières. Je ne dis pas que la couleur n’apporte rien, elle n’apporte tout simplement pas le même message, et le noir et blanc me semble plus brut, plus direct dans la manière d’introduire le sujet au regard du spectateur. La suite des photos est juste en dessous.
Merki mon copain !!! ça va être chouette chez moi tout ça !!
Tu passeras pour le vernissage !!
On aura du champagne et des ptits fours ??? 🙂
J’apprends qu’il y a un musée à Pesmes. J’essaierai d’y penser la prochaine fois que je vais photographier l’ognon là-bas. Certaines photos sentent encore la graisse. J’aime beaucoup les vis sans fin, les vis sans fin, les vis sans fin, les vis sans fin, les vis sans fin, les vis sans fin, les vis sans fin, les vis sans fin, les vis sans fin, les vis sans fin 🙂
sans fin, sans fin, sans fin …. tiens y’a de l’echo par ici ! Si jamais tu passes dans le coin, n’hésites pas à m’avertir, ce sera l’occasion d’aller faire quelques photos ensembles 😉
Je note.
Ne te justifie pas Julien, c’est pas demain que cet « engouement » va changer… Seule une personne sur cent (parlons photographe, parce-que si on prend tout le monde, c’est 1/10000) te dira que le N&B tout le temps, ça va un peu… 😆
D’ailleurs, elle commence à se ternir la page d’accueil de ton site ! 😉
Ici, tout le monde comprendra : 17e siècle, c’est vieux, donc c’est N&B, donc commande en N&B, etc., etc., etc. Ah là là, ce besoin d’attachement à une époque de notre cerveau.
Cela dit, tant mieux pour toi ! Traiter une couleur, c’est déjà nettement plus commode que d’en traiter 3 ou 4 😉 (Je te charrie hein).
Joli travail quand même, bien que l’utilisation du flash ne soit pas du meilleur effet sur certains clichés.
Merci Taz pour ton intervention. C’est comme vouloir conserver des voitures de collection, et de créer des répliques, c’est une façon de conserver l’histoire (^_^). Par contre je suis d’accord avec toi, l’utilisation d’un flash déporté aurait été plus judicieuse pour les quelques photos avec flash.
Jolies.
Effectivement, le noir et blanc apporte une mise en évidence différente de ce que peut apporter la couleur 🙂
le traitement n’apporte pas les mêmes informations, et même entre deux noir et blancs on peut changer le message 😉