Toujours à la bourre, mais jamais à court ! (Putain, ça c’est de la catch phrase à écrire sur du marbre) voici les coups de cœur du mois ! Ce mois-ci, du défourraillage de démons, de la réflexion post-écolo, et du heavy n’ Roll ! Check la suite mon ami(e) !
Le jeu de l’enfer du mois : Darksiders – Xbox 360
Une grande aventure qu’est Darksiders ! Dans ce jeu vous incarne « Guerre », un des quatre cavaliers de l’apocalypse, qui trahi par une force supérieur, est accusé d’avoir violé la loi sacrée et provoqué une guerre entre le Paradis et l’Enfer… les forces « démoniaques » ont vaincu et se sont installées sur Terre.
Le jeu commence en pleine bataille dans les rues de New York (où en tout cas ça y ressemble, mais comme tout se passe à New york aujourd’hui, autant ne pas y habiter :lol:). En plein milieu de l’Apocalypse on fraye son chemin en découpant en long en large, dans les flancs des bêtes démoniaques, et en pleine poire des anges armés jusqu’aux dents. Les quelques humains essayant de fuir en prennent aussi pour leurs grades.
Et là c’est le drame, Guerre se retrouve devant le conseil, perds ses pouvoirs, et ayant soif de justice, propose de retourner sur terre pour découvrir la vérité, et détruire les traitres. C’est donc des années plus tard, sur une terre dévastée, et remplie de démons que Guerre devra faire son chemin.
Visuellement, c’est très beau, on se retrouve à tataner (oui, à coups de tatanes 😈 ) du démon, des boss (boss au pluriel c’est pas bosss ?? ❗ ) géants, et j’y trouve un petit coté à la Spawn, avec des anges en armure, armés d’épées et de Guns (qu’on peut également utiliser). Ce qui est agréable c’est également les changements de décors entre les niveaux. La ville détruite, le désert, ou encore la luxuriante oasis chaque niveau est un régale, et on se perd vite a admirer certains endroits.
[spoiler show= »Alerte Spoiler »]On retrouve le même plaisir à chevaucher Ruine (c’est le nom du cheval de Guerre) en plein milieu du désert ![/spoiler]
Niveau gameplay, pour faire ne pas faire dans l’innovation, je dirais comme tout le monde, que c’est un excellent mélange entre God of War et Zelda. GOW car un retrouve des passage de beat them all, assez prenant, assez dur pour certains. Zelda pour la gestion des armes, qui sont assez similaires (on retrouve les équivalents du grappin, du boomerang, de l’arc …) ainsi que la gestion de l’inventaire et même une boutique ou on peut acheter armes et améliorations.
En retrouve également en plus de la quête principale quelques mini quêtes comme la recherche de l’armure abyssale (10 pièces disséminées dans toutes les zones) ainsi que de nombreux coffres contenant des améliorations de vie, de puissance et d’armes.
Bref ce Darksiders est un condensé de bonnes idées ! comptez entre 15 et 20h pour terminer le jeu, voir plus si vous êtes un hardcore gamer et que vous choisissez le mode hard dès le début. Je ne peux que vous le conseiller avec son histoire vraiment bien construite, ses personnages charismatiques et on ne peut que attendre la suite (faites pas les surpris, quand un jeu marche il y’a toujours une suite).
note : [rating stars= »6″]
Le livre qui fait réfléchir du mois : Homo Disparitus
Une critique rapide pour vous dire que ce livre est excellent ! Alan WEISMAN traite dans ce livre de l’avenir de notre planète, si l’homme devait disparaitre subitement, et de ce qu’il resterait de l’architecture, l’art : la trace de l’homme au fil des ans, voir des siècles.
Vous pourrez retrouver une critique approfondie, ainsi qu’un extrait de ce livre dans la rubrique Littérature du Wasteland, on très bon livre qui, sans être un manifeste écolo, nous fait réfléchir sur ce qui adviendra de notre planète.
note : [rating stars= »6″]
L’album yeah Heavy Rock’n Roll du mois : New Junk Aesthetic – Every Time I Die
Quoi de mieux pour avoir la patate que de se mettre un petit Every Time I Die ?? Le combo de Buffalo, nous revient ici avec leur 5ême album, continuant sur leur route pavé de rock n’ roll, de stoner, de hardcore, de punk et de métal.
Les riffs sont lourds, gras, tout en jouant sur des rythmiques groovy et un chant chaotique, on retrouve ici la mouvance Converge / Dillinger Escape plan, ces groupes un peu Ovni sur la scène, et pourtant tellement riches musicalement.
New Junk Aestethic donc, bien que n’étant pas leur premier album, contient toujours cette petite étincelle, une énergie débordante, qu’on leur connait en live, et qui a le mérite d’exister également sur galette. Des titres comme After One Quarter Of A Revolution ou The Sweet Life sont de très bons morceaux, et bien que plus rock n’roll dans ses compositions, le chant est on ne peu plus violent par rapport au précédent The Big Dirty, et pourtant l’alchimie fonctionne.
A écouter en boucle pour se réveiller, et avec la patate que tu choppe tu peux casser des noix de cocos avec ta tête : même pas mal !
Allez je suis sympa, je vous met (oui si je veux) le tube de cet album : Wanderlust ! (avec les paroles parce que je suis grand seigneur)
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=IewQXMJQjvA[/youtube]
note : [rating stars= »6″]
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