Un Grand sage à dit : « c’est pas grave si c’est court, l’important c’est que ça fasse plaisir ». A moins que ce ne soit dans un film de cul … je ne sais plus. Enfin Bref, tout ça pour vous dire que le mois de janvier n’a pas été très productif pour ma part, ni en photo, ni en création graphiques, et cela est la faute de :

Le suite qui déchire du jeu qui déchire : Mass effect 2 – Pc

Mass effect 2 Thane

Oui vous le savez, il est rare que je ne parle pas d’un jeu ici tous les mois, voir plusieurs même, mais celui-ci m’a happé tel un trou noir, chronophage, et qui laisse un gout de reviens-y, tellement que je voudrais que le 3 soit déjà sorti !

Si vous aimez les Spaces Opéra, qui plus est, de les vivres au travers d’un personnage contrôlable, je ne peut que vous conseiller la série Mass effect (sur Pc et Xbox 360). Considérée comme l’équivalent de « l’empire contre-attaque » de la saga Star Wars, plus sombre et mature, nous voici plongé dans ce second volet, retrouvant l’univers si immersif de Mass effect.

Il est donc conseillé de faire le premier volet de cette trilogie si vous voulez comprendre l’histoire. Du moins en parti, car de nombreuses options dans les dialogues permettent à vos interlocuteurs de rafraichir la mémoire de Shepard. Bien pensé les gaziers !

Comment ne pas dévoiler l’histoire, ni l’intrigue … Vous incarnez Shepard, héros de l’espace (huuum je me bouffe les lèvres de simplifier une histoire aussi complexe, non pas compliqué, et aussi riche), qui pour avoir sauver l’humanité (et la non-humanité, les autres races quoi !  😈 ) à le droit d’en remettre une couche ici. Dans le premier volet, Shepard est embauché pour faire face à un grand mal : Les moissonneurs, race extra-terrestre, qui tout les 50,000 ans reviennent dans notre galaxie pour y exterminer toute trace de vie. On poursuit donc cette histoire ici, au sein du groupement Cerberus, afin de trouver une solution pour exterminer ces sales bêtes.

Première phase de jeu, constituer une nouvelle équipe pour faire face à ce mal. En effet, l’ancienne équipe étant dissoute, il faut trouver de nouveaux acolytes (et d’anciens) pour dézinguer du geth (une race robotisée de méchants) et du vilain terroriste.

Si vous aimez le coté jeu de rôle, vous serez servi ici, car ce sont des centaines d’heures de dialogues qui entrent en jeu. Cela grâce à plusieurs spatio-ports / planètes, qui regorgent d’autant de Pnj, parfois intéressants, parfois pas, mais qui permettent soit de faire avancer l’intrigue principale, soit de déboucher sur une quête annexe.

Si vous aimez le graphisme, le jeu est réellement beau. Non sans rappeler les villes dans Star-Wars, Blade Runner, on retrouve tout le charme de la SF. Dans les couloirs dévastés d’un ancien centre psychiatrique/biotique, la grande ville prospère, ou la planète île déserte à la Lost, tout est travaillé pour vous en mettre plein la tête.

Enfin, je pourrais vous en parler pendant des heures, mais je vais arrêter là, car pour apprécier ce jeu il faut le jeu, il faut le vivre. Une dernière information, prévoyez une 20aine d’heures pour en venir à bout.

note : [rating stars= »6″]

Le film qui m’a fait rire (ce dont je n’étais pas sûr) : Le petit Nicolas

Petit Nicolas Film

Pour ne pas faire le radin (et ne pas passer pour un gros geek gamer Nolife), je vous rajoute en bonus le film du petit Nicolas. Non pas mon neveu qui à fait un film, ni le film de famille du petit Sarkozy, mais le film tiré des livres.

Pour être tout à fait honnête, je ne connaissait pas l’univers du petit Nicolas jusqu’à ce film. Bon en tant que grosse production française avec Kad Mérad, maintenant je fais attention car mon radar « grosse pub VS film de qualité » était sur le qui vive.

Alors pour planter le petit Nicolas, est un personnage de romans illustrés crées par Sempé et Goscinny, relatant ses aventures à l’école accompagné de ses camarades, dans la France des années 50. Pour faire simple c’est Titeuf dans les années 50.

Concernant le film voici son pitch : Nicolas mène une existence paisible, il a des parents qui l’aiment, une bande de copains avec lesquels il s’amuse bien, et il n’a pas du tout envie que ça change. Mais un jour, Nicolas surprend une conversation entre ses parents qui lui laisse penser que sa mère est enceinte, ce qui n’est pas forcément une bonne nouvelle pour lui, car ses parents ne s’occuperont plus de lui.

Visuellement, c’est très propre, on sentirait presque une touche d’Amélie Poulain, par son ambiance, et son esprit enfantin. Tout ici est fait pour rappeler les aventures des récréations des cours d’écoles. Le casting des enfants est excellente,  Clotaire (le dernier de la classe) est excellent (et à la bonne tête). A mourir de rire, lorsque plongé dans ses rêves endormi au fond de la classe, la maitresse lui pose une question, et sans répondre ni ouvrir les yeux, il se dirige directement au « coin », là où il passe la plupart de son temps.

Je rejoins par contre les critiques, qui trouvent dommage qu’on cherche à imposer Kad Merad et Valérie Lemercier (les parents de Nicolas) dans un nombre incalculable de scènes, pour un film qui aurait très bien fonctionné sans elles. Bien que j’aime ces 2 comiques, c’est dommage de ne pas passer plus de temps avec les vraies stars du film, les gamins, tous plus attachants les uns que les autres.

note : [rating stars= »5″]/6