Nous voila presque au bout de ces pénibles périples de coups de cœurs de l’année. toujours plus ou moins en retard (oui je sais ça ne veut rien dire), mais toujours là, alors sans plus attendre la suite de votre programme (ouche vais aller prendre mes petites pilules moi :halo: )
L’accessoire photo du mois : Le flash Canon 430EX
Cadeau d’anniversaire oblige, il fallait que je vous parle de ce flash, mais surtout parce que c’est une vrai petite bombe à un prix hyper abordable aujourd’hui. Trouvable entre 150 et 200 euros d’occasion sur le net, depuis que le modèle II est sortie, cela ne vaut pas le coup de s’en priver.
Le Speedlite 430EX présente de nombreux avantages par rapport au flash interne et intègre de nouvelles fonctions tel que la sélection automatique des réglages de balance des blancs du boîtier et l’ajustement automatique de la position du réflecteur afin de s’adapter au format du capteur de l’appareil sur lequel est monté le flash. Le nombre guide (puissance lumineuse d’un flash) du 430EX est de 43 (pour 100 ISO à 105 mm) et son temps de recyclage est très rapide (temps de recharge entre deux émissions de lumière). Bref, il est très très proche du 580EX.
Compatible ETTL-II (permettant d’avoir tout les automatismes) et gérant la synchro sur le 2ème rideau (je vous montrerai des exemples plus tard), c’est une petite bombe pour les petites bourses (on ne se moque pas au fond !).
note : [rating stars= »6″]/6
Le film du mois : District 9
Enfin un film qui n’est pas une suite, ou un remake, et qui apporte un peu de fraicheur dans le monde de la SF ! Qu’est ce que le District 9 ? eh bien c’est un camp de réfugiés extraterrestre, situé en Afrique du sud, qui depuis plusieurs années s’est transformé en bidon-ville Géré par la MNU, organisation qui gère les mollusques (surnom de nos amis d’une autre planète).On suit donc les missions de Wikus van der Merwe, chargé de déloger les mollusques dans un nouveau camp à 200 Kms à l’extérieur de la ville, mais rien ne se passe comme prévu.
Parrainé (en fait produit) par le grand Peter Jackson, Districk 9 est à l’origine un court métrage de Neil Blomkamp, qui à germé et est devenue le très bon film qu’est celui-ci. Caméra à l’épaule, nous mettant directement dans l’action, effets spéciaux relativement bien intégrés (et pas sur-abusés) permettent de supporter l’histoire relativement bien ficelée.
Difficile de ne pas faire le rapprochement avec l’apartheid (d’ailleurs les premier teaser en jouaient), mais cela est vite relié au second plan avec les mésaventures de Wikus qui se retrouve plongé en plein milieu du district 9. Les diverses interventions des personnages interviewés apporte vraiment un rythme à l’histoire, et ce film m’a scotché à plusieurs fois.
Je ne voudrais pas en raconter plus de peur de vous en dire trop, si ce n’est que si vous êtes amateur de Science Fiction et qu’un peu de fraîcheur vous intéresse, alors foncez sur ce film !
note : [rating stars= »6″]/6
Le film qui déboite sa race du mois : Les lascars
Ouech gros bien, la forme ? Alors pour ceux qui ne connaissent pas la série, va falloir sortir de votre bunker ! Les lascars, à la base, est une série animée en 2 saisons, diffusée sur canal+ et McM, et qui obtient ici son passeport pour le grand écran.
Ici tout commence quand José et Tony, prévoyant de s’offrir enfin des vacances au soleil, se font enfler par les jap’s du coin qui leur refilent des billets pour la moldavie … Et là c’est la galère, José va faire les petits boulots, Tony va dealer afin de se refaire une santé et surtout rembourser la thune à Zoran, la brute du coin à qui Tony avait emprunté la caillasse, sans compté la petite amie de celui-ci hyper possessive, et chaude du cul.
C’est très beau, on connaissait déjà le coup de patte de la série, un peu stylé graffiti, mais ici la 2d et la 3d sont mélangés habilement, et les couleurs vives sont vraiment chaleureuses. Les personnages sont attachants, et ces petites racailles sont comiques sans être ridicules, bref on bon récap de la série, tout comme un film d’animation française comme on en voit trop peu. Je m’étais pas autant éclaté devant un film que depuis la 1000 ème redif du Big Lebowsky, il faut le voir absolument !
note : [rating stars= »6″]/6
La série du mois : Life
Life fait partie de ces séries auxquels on adhère tout de suite. Déja c’est une série policière donc forcément format court, un intrigue par épisode. Un brin d’humour à la House (puisque tout le monde fait la comparaison), et une histoire de fond recherchée et captivante. Charlie Crews est un détective libéré de prison après avoir été condamné il y a 12 ans pour un crime qu’il n’a pas commis. En prison il trouve sa propre méthode pour survivre sans y laisser sa peau, grâce à un art de vivre « zen », et son avocate pendant se temps réussi à fournir les preuves de son innocence, ce qui vaudra à Charlie d’être grassement remercié (plusieurs millions) pour cette petite boulette. Cependant cela à marqué notre homme qui continue à chercher pourquoi il s’est retrouvé là au milieu.
Bon comme je suis un enfoiré, je vous le dit tout de suite, Life fait partie de ces très bonne série qui s’arretent trop tôt, puisqu’elle n’a même pas été renouvelée pour une 3ème saison (quand on voit prison break qui aurait mieux fait de s’arrêter, elle, à la deuxième….).
C’est peut être l’occasion de se forcer à la regarder, car cette série est vraiment fun, le couple flic ex-taulard/zen attitude et sa collègue ex-alcoolique/bourrine à souhait fonctionne parfaitement et tous les personnages qui gravitent autour son bien réfléchis, en y réfléchissant, on pourrait rapprocher le comique de situation qu’on retrouve dans monk.
note : [rating stars= »6″]/6
Le jeu du mois : Call of Duty – Modern Warfare 2 (Pc)
Call of duty s’est imposé ces dernières années comme la référence du FPS de guerre, notamment 2ème guerre mondiale, avec le concurrent Medal of honor, mais plus récemment, la série s’est illustrée avec Modern Warfare (du studio Infinity Wards en 2007), qui innove en plaçant l’action dans un contexte moderne (Afghanistan, Russie, Usa, terrorisme et autres gentillesses …).
Nous voici donc au deuxième opus de Modern Warfare, reprenant fidèlement l’histoire et les personnages, tout en apportant un nouveau scénario. Au niveau du principe on reste sur la même idée qu’avant, vous changez de personnage et de lieu a chaque mission (Afghanistan, Russie, favelas brésiliennes, plate forme pétrolière, zone urbaine..), et les ambiances et décor sont retranscrit de manière hyper réaliste.
Graphiquement et musicalement c’est une grosse claque ! Les perso, les décors, la musique de Zimmer, les explosions, la radio, les maisons, les civils, les armes etc sont tellement bien réalisés, qu’on est en immersion totale. L’action est relativement soutenue, pas un temps de repos, ça explose, tire de tout les bouts, shoot des hélicoptères … Vous voulez de l’action ! vous serez servi !
Lorsque je parlais plus haut de scénario, c’est ce qui me gène un peu, c’est que c’est tellement scénarisé, qu’on croirait être devant un film. C’est très bien, mais laisse peu de liberté au joueur, on avance on dézingue, on encaisse, ça avance vite, et même trop, puisque le jeu à une durée de vie de 6h/7h, à 60 euros le jeu, ça caisse un peu le boule quand même.
De plus pour le multijoueur (que je n’exerce plus depuis quelques temps, il semblerait qu’il n’y ait pas de serveur dédiés, exit les parties entre potes sur le net (ou alors préférez une Lan), mais quitte à jouer ensembles autant être dans la même pièce non ?)
note : [rating stars= »5″]/6
Presque partout des 6/6, mais je suis d’une bonté immense ce mois ci ! Non en fait c’est que je suis tombé que sur de la qualité, et parfois ça fait du bien, en tout cas la période de noyel est toujours la mieux fournit en sortie, alors profitez bien de vos fêtes, faites craquer le larefeuille et à l’année prochaine !
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